La Festa#3, altra velocità/autre vitesse (clic), aura lieu dans le Val de Susa, à Avigliana, province de Torino du 29 juin au 1er juillet
2018.
Elle est organisée par des groupes locaux tels que Worcup, Etinomia, GAS de la région et d’autres groupes impliqués dans la transformation sociale et l’écologie. L’Usine à GAS (collectif d’associations françaises de circuit court dont Corto fait partie) participe à l’organisation et aux propositions de contenus pour les tables rondes.
Cette Festa a pour objectif d’échanger sur nos pratiques, sur la théorie et les expériences vécues dans les différents réseaux et organisations. De continuer à créer des liens, au-delà des frontières et avec nos différences, afin d’imaginer ensemble le futur que nous souhaitons construire, en conscience du bien commun.
Esprit de la fête
Le programme est en soi un grand atelier : nous le construisons ensemble, avec la contribution constante de celles et ceux qui choisissent d’y participer.
Les sujets qui seront abordés concernent l’intelligence collective, la gouvernance partagée, les co-productions, les systèmes communautaires d’échange, la Petite Distribution Organisée (PDO), l’agriculture soutenue par la communauté (ASC), la facilitation, l’intégration des migrants, le rapport entre santé et alimentation. Sont prévus des ateliers pour les enfants et les jeunes, des projections de films, des spectacles, et de la musique pour danser !
En amont de la Festa, une marche de 3 jours est proposée par la Compagnia dei Cammini, une journée sera dédiée à la visite du chantier TAV avec des militants du mouvement NO-TAV qui feront une présentation de la lutte à Venaus. Une rencontre de la Scuola della Decrescita est aussi organisée à Venaus les jours précédents sur la thématique : faire communauté aujourd’hui/gouvernance partagée.
Ces rencontres sont reliées à la Festa, certain.e.s participent à l’ensemble.
Programme, adresse et logements
Pour prendre connaissance du programme détaillé ICI,
comment venir ICI et des possibilités d’hébergement ICI
Lire aussi le Pizzino
de juin 2018 et la lettre de Andrea Saroldi ICI